Le retrait de Britishvolt de la filière batterie n'est pas une mauvaise nouvelle selon le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel.
Il n'est d'ailleurs pas surpris de la décision de l'entreprise Britannique, alors qu'elle éprouvait déjà des difficultés financières en Écosse.
Le fait qu'il n'y avait pas non plus de confirmation de financement semait le doute dans la tête du député Martel. Une des raisons qui expliquent pourquoi il était souvent peu bavard lorsqu'il était question de Britishvolt.
Il avoue d'ailleurs que le terrain, laissé vacant par Britishvolt, ne devrait pas être orphelin bien longtemps.
M. Martel ne craint pas non plus une vague de départ au sein de la filière batterie.
« Y'a beaucoup plus de gens qui sont intéressés à venir qu'à partir. »