La rupture d'aqueduc sous le pont Jacques-Cartier, vendredi, a poussé le chroniqueur politique Jeremy Ghio à se demander pourquoi nos municipalités se trouvent dans cette situation de vulnérabilité.
Écoutez-le présenter quelques changements qui permettraient de rectifier le tir, dimanche, au micro d'Élisabeth Crête.
«Il y a d'abord la priorité des politiciens. Parce que ce n’est pas sexy d'investir dans des aqueducs. Et comme le disait un maire en Ontario, le pouvoir est au fédéral, l'argent est au provincial et les problèmes sont au municipal. C'est tellement vrai. Nos municipalités sont les premières à faire face aux problèmes quotidiens. Année après année, les gouvernements trouvent des façons de leur retirer des transferts ou de ne pas leur payer leurs impôts. Les politiciens se défendent en disant qu'ils investissent des sommes historiques. C'est vrai. Sauf que ça va en prendre plus...»