La gouverneure démocrate de l'État de New York, Kathy Hochul, a reculé sur son projet de péage urbain dans la ville de New York après des critiques soulevées par rapport aux ménages de la classe moyenne.
Dans un autre ordre d'idée, une augmentation de 91 dollars sur la taxe sur l'immatriculation sur les véhicules de promenade, immatriculés dans le Grand Montréal, entrera en vigueur en 2025. Cette augmentation permettra de financer les transports collectifs.
Est-ce qu'un péage urbain serait efficace pour financer la mobilité et améliorer la fluidité?
Écoutez Pierre Barrieau, chargé de cours en planification des transports à l’Université de Montréal et président de Gris Orange Consultant, qui discute avec Valérie Lebeuf et Louis-Philippe Guy.
«On a déjà eu au Québec des péages pour rentrer sur l'île de Montréal [...] Le gouvernement René-Lévesque a décidé d'enlever les péages. Depuis le début des années 80, on parle de ramener le péage, mais pas pour payer les infrastructures, mais pour avoir un facteur de dissuasion à venir en voiture au centre-ville.»