Des études d'Environnement Canada pour Parcs Canada, datant de 30 ans, démontraient les effets néfastes des feux de camp, alors que la SÉPAQ s'interroge depuis un an sur ce même sujet.
Le journal Le Soleil a obtenu une copie des études.
La première étude, réalisée en 1992 au parc national Jasper, en Alberta, avait déjà conclu que le niveau de particules en suspension causées par les feux de camp était supérieur aux normes environnementales.
La deuxième en 1994, au parc de la Mauricie, au Québec, démontrait que les feux de camp nuisent à la qualité de l’air et sont néfastes pour les gens plus sensibles, qui doivent être informés des risques.