À l’occasion de sa première chronique en compagnie de Patrick Lagacé, Anne-Lovely Étienne aborde le phénomène de la pornographie reproduit avec de l’intelligence artificielle et la controverse qui a fait la manchette la semaine dernière sur le Web.
Alors qu’il n’existe aucun recours juridique actuel pour poursuivre des créateurs ou des consommateurs. La chroniqueuse explique qu’il s’agit selon elle de trafic humain digital et donc d'un crime sexuel.
«Le deep fake, c’est comme le gars qui prenait la photo d’une fille pour la mettre sur le visage d’une "playmate" dans un magazine... c’est un peu "looser" selon moi.»