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Les défis de la hausse de l’immigration temporaire

«Il y a une marche arrière qui se comprend, mais qui ne sera pas facile»

«Il y a une marche arrière qui se comprend, mais qui ne sera pas facile»
La commission / Cogeco Média

La hausse considérable de l’immigration temporaire au Québec soulève plusieurs défis pour la province, mis en lumière par une étude de l’Institut du Québec portant sur cette question publiée mercredi.


Écoutez Emna Braham, présidente-directrice générale de l’Institut du Québec, discuter de cette question actuellement forte en tensions politiques, mercredi, au micro de Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.

«Le bond de l'immigration temporaire a été tellement important que c'est venu faire bondir la population québécoise à un rythme de croissance qu'on voit d'habitude dans des pays en voie de développement. Aussi, la création d'emplois n'a pas suivi le rythme. Donc, une marche arrière qui se comprend, mais qui ne sera pas facile. Il s'agit de renverser une multitude d'assouplissements faits au cours des dernières années dans différents programmes d'immigration, dont la responsabilité est souvent partagée entre Québec et Ottawa. Il faut en plus naviguer sur fond de tensions politiques.»

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