La mise sous tutelle de la DPJ Mauricie-Centre-du-Québec arrive trop tard, selon la critique libérale en matière de protection de la jeunesse, Brigitte Garceau.
Madame Garceau ne comprend pas comment il se fait que le ministre n'ait pas été mis au courant des derniers problèmes avant la publication de l'article de La Presse, hier matin.
Le journal a rapporté que les droits de dizaines d'enfants avaient été brimés, car des rapports truffés de faussetés et d'erreurs ont été présentés par des intervenantes de la D-P-J.
Brigitte Garceau estime que c'est toute la culture de la DPJ qui doit être remise en question.