Le chroniqueur de La Presse,Yves Boisvert, vit en immersion aux États-Unis depuis six mois. De Miami à La Nouvelle-Orléans, en passant par Washington, il tente de comprendre les États-Unis en cette année cruciale, car électorale.
Écoutez le principal intéressé, Yves Boisvert, commenter «sa nouvelle vie» aux États-Unis depuis quelques mois, à Radio Textos.
«L'une des premières choses que j'ai dites à mes patrons quand le poste s'est ouvert, c'est que si j'y allais, je veux faire des choses que je ne peux pas faire de Montréal. On peut faire de l'analyse de sondage, on peut savoir ce que Trump a dit, ce que Harris a dit, de Montréal. On peut tout savoir d'une certaine façon sur la politique, mais on ne peut pas nécessairement ressentir ou faire des rencontres personnelles. Et c'est donc ça qui m'intéresse, c'est de mettre de l'épaisseur humaine sur ce qu'on lit de la politique et aller au-delà des clichés. Les gens qui votent pour Donald Trump, c'est une variété incroyable de gens. Il y en a qui vont voter pour lui pour des raisons fiscales, d'autres pour des raisons religieuses, d'autres pour des raisons de tradition familiale.»